• "Liberté mon cul, égalité mon cul, fraternité mon cul"
      Philippe Katerine

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    • Dec 11thExtrait 1 : La merde (p8-p10)

      L’espèce humaine n’est qu’une merde à la dérive sur sa planète en voie de disparition. A quoi est-elle encore bonne cette satanée espèce humaine ? A quoi a-t-elle jamais été bonne ? L’Histoire a prouvé par A plus B que cette satanée espèce humaine n’était bonne qu’à amasser des montagnes de merdes, qu’à produire puis amasser puis déverser des montagnes de merdes, amasser et déverser des montagnes et des tombereaux de merdes sur elle-même et sur l’ensemble de la malheureuse planète qui a la malchance de la porter sur son sol. L’Histoire a prouvé depuis le début, par A plus B et de A à Z, que l’espèce humaine n’était bonne qu’à faire de la merde, à ne faire encore et toujours que de la merde, des tombereaux de merdes de toutes formes, de tous types, de toutes consistances, de toutes couleurs et de toutes sortes : merdes mentales, merdes politiques, merdes commerciales ou financières, merdes agricoles ou industrielles, merdes primaires, secondaires ou tertiaires, merdes plus ou moins sophistiquées pour l’exploitation de l’homme par l’homme et pour l’exploitation de cette malheureuse planète jusqu’à la mort par asphyxie sous des montagnes et des océans de merdes solides, liquides ou gazeuses, merdes plus ou moins sophistiquées pour la propagation toujours plus prompte et efficace de toute la merde imaginable et de toute la merde que l’on n’osait pas encore imaginer, merdes pour la propagation toujours plus prompte et efficace de toute la barbarie la plus crasse et la plus merdeuse, de toute la souffrance et de toute la misère toujours les plus abominables et les plus inimaginables et les plus dénuées de toute forme d’espoir, toute forme d’espoir et de lumière étant continuellement et toujours plus efficacement recouverte de monceaux de merdes toujours plus opaques et puants, toujours plus collants, putrides, corrosifs et destructeurs de tout, tout espoir de progrès étant toujours retourné comme une crêpe pour être recouvert aussitôt de monceaux de merdes épaisse et visqueuse.
      Nous vivons à une époque où il est devenu impossible d’en douter, où il est devenu impossible d’espérer, une époque où il a été prouvé par A plus B et de long en large en travers que l’espèce humaine n’était absolument bonne à rien, quels que soient les outils merveilleux mis entre ses mains barbares, mains barbares qui n’ont d’autre talent que de tout transformer en merde, alchimiste fou transformant l’or en merde, l’or et tout, absolument tout ce qui passe entre ses mains, des plus formidables talents aux plus merveilleux dons en passant par les plus magnifiques paysages et les productions les plus brillantes et visionnaires des esprits les plus brillants et visionnaires.
      L’espèce humaine est l’alchimiste ultime qui transforme en merde absolument tout ce qui passe entre ses mains barbares et indignes. Par son talent remarquable et surtout remarquablement douteux, les plus incroyables découvertes des plus incroyables cerveaux se transforment systématiquement en merdes les plus incroyablement immondes et toxiques. Les plus incroyables dons du sol et du sous-sol, de la connaissance, de la science, de la technique se transforment en merdes les plus putrides. Les meilleures volontés et les meilleurs talents ne génèrent plus que de la merde, la nature se transforme en merde, l’air et l’eau se transforment en merde, les énergies et les ressources les plus inespérées se transforment en merdes génératrices de merde, les cerveaux se liquéfient en merdes visqueuses, l’organisation sociétale, au delà de tous les espoirs et de tous les combats, n’est et n’a jamais été que de la merde, une merde toujours plus profondément merdeuse, la culture ne charrie plus que des monceaux de merdes, les langues, les rêves et les imaginations se remplissent de merdes, les paysages et les horizons ne sont plus que montagnes de merdes entrecoupées d’autoroutes de merde surplombées d’immeubles de merde par les fenêtres desquels se déversent les geysers de merdes expulsés par leurs mirifiques écrans.


      by AT with no comments yet

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