Malades mentaux pathologiquement médiocres
Il n’y a rien à faire pour cette fichue espèce humaine qui d’un côté ne pense qu’à s’en mettre toujours plus et toujours plus profondément plein les poches, plein le gosier et plein tout ce qui peut être agréablement quoiqu’illusoirement rempli au détriment de tout le reste et de tous les autres, au détriment de la plus évidente survie de cette fichue espèce humaine elle-même, au détriment de tout ce qui n’est pas ses petits trous du cul merdiques épilés au laser, sans parler de l’évident détriment de tout ce qui peut constituer le moindre progrès, la moindre chance pour cette fichue, malade et stupide espèce humaine d’évoluer un tant soit peu vers un peu moins de pathologique stupidité et d’incapacité à se prendre en main, au détriment, bien entendu et surtout, de l’ensemble de la planète et de l’ensemble de la vie qu’elle porte avec aujourd’hui tant de difficulté, au détriment de l’évolution naturelle dans son ensemble qui trouve certainement en l’espèce humaine le point final absolu à toutes ses tentatives, l’absolue catastrophe finale, le douzième coup de minuit de l’heure du crime absolu contre la vie, contre l’intelligence et contre l’Univers entier et contre toutes ses tentatives d’évolution, le pitoyable point final à toute évolution de l’Univers, 15 milliards d’années d’agencement de la matière mis à la poubelle en quelques fractions de millénaires par l’espèce la plus aboutie en matière de congénitale stupidité et de connerie multiforme, tandis que de l’autre côté l’écrasante majorité de cette fichue espèce humaine n’a de cesse de se laisser escroquer en long en large et en travers avec manifestement le maximum de plaisir et de plébiscite pseudo-démocratique dans un monde qui n’est là que pour broyer les bonnes volontés et par dessus tout toute créativité, toute efficience, toute action véritable, pour maintenir artificiellement un système complètement stupide qui ne tient debout que parce que des millions de crétins n’ont de cesse que de le consolider comme une image imprimée dans le monde de leur propre pathologique structure mentale de débiles profonds, à tel point que toute administration et toute structure sociétale ne sont que le reflet et la réalisation concrète de la somme de millions de cervelas débiles enragés de transformer le monde à leur propre image de profonds malades mentaux pathologiquement médiocres.
Homo Sapiens Mon Cul