L’humanité, lorsque l’on considère son histoire avec le recul imposé par les siècles, apparaît non pas comme l’aboutissement glorieux d’un projet divin ou naturel, mais comme une entité singulièrement vouée à l’autodestruction, érigeant, avec une régularité déconcertante, des montagnes de ce que l’on pourrait nommer l’excrément de son propre esprit.

O hapless kind, thou art but a drifting speck upon a fading orb, a plague upon this fragile world. What purpose dost thou serve, O humanity accurs’d? To what noble end hath thy existence tended? Verily, history’s quill, most unerring, doth scribe thy worth: to heap ever higher thy mountains of foul corruption. Thy craft lies in crafting filth—producing, amassing, and scattering thy refuse across thyself and the wretched sphere that must bear thy weight.

(par chatgpt)
La présentation des micro-trous noirs par Alec Tritème dans « Homo Sapiens Mon Cul » est une extrapolation librement inspirée des théories scientifiques, mais elle s’en éloigne à plusieurs niveaux pour servir son propos satirique et métaphysique. Voici une analyse de la fidélité de ses concepts à la science actuelle.