Homo Sapiens Mon Cul

Homo Sapiens Mon Cul

Apocalypse Mode d’Emploi

Si vous trouvez déplaisant et ennuyeux de descendre dans la rue avec une ceinture d’explosifs, « Homo Sapiens Mon Cul » vous fournira une méthode plus radicale et moins salissante pour en finir une fois pour toutes avec cet Univers plus que désespérant.

La fin du Monde est proche ? Participez !

« Homo Sapiens Mon Cul » c’est beaucoup de colère, pas mal de politique, d’histoire, de science-fiction et d’humour noir. Alec Tritème propose une vision très personnelle de la Révolution Française, des invasions Extra-Terrestres et de l’Escrocratie Mondiale qui se fait appeler Économie Libérale et qu’il promet à une somptueuse Explosion Cosmique, dans une Apocalypse enfin rationnelle et radicale..

Le Paradoxe de Fermi remarque que si les extra-terrestres existaient, ils seraient déjà là. Cela prouve simplement que toute forme d’intelligence finit par s’autodétruire avant d’avoir acquis les capacités de quitter sa propre planète.

Alec Tritème
Docteur en Sciences, Alec Tritème a été ingénieur pour l’armée et le nucléaire, acteur, auteur, metteur en scène et boulanger industriel. Il conchie l’espèce humaine et vous propose de partager ce bonheur.

La meilleure description du machin : les commentaires de lecteurs ci-dessous. Merci, et, j’espère, bonne lecture.

8 Replies to “Homo Sapiens Mon Cul”

  1. J’ai lu Homo Sapiens Mon Cul, et c’est avec beaucoup de gratitude envers son auteur, Alec Tritème, que je laisse un commentaire sur cette page. J’espère qu’il le lira, et que les commentaires laissés ici par les uns et les autres l’encourageront à poursuivre dans l’écriture. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que voici : la première partie du livre m’a fait un bien fou, et la deuxième m’a confirmé que j’avais eu raison de tenter l’expérience de cette étonnante lecture.

    Mais revenons à la première partie. Il s’agit au premier abord d’une diarrhée acide et impitoyable sur l’Homme, les civilisations humaines – toutes- et le seul et unique accomplissement de notre chère espèce en 150 000 ans d’existence : produire des montagnes et des montagnes et des montagnes de merde, de malheur et de misère. Notons au passage, et il me semble qu’il s’agit d’un point crucial, que le plaisir que m’a procuré cette attaque en règle contre l’humanité dans son ensemble n’a rien eu à voir avec du masochisme, un goût douteux pour l’auto-dénigrement collectif, l’auto-destruction ou toute autre pulsion misanthrope malsaine. Non. L’intérêt réside au contraire dans la finesse du propos, la pertinence, et surtout la puissance du style et du rythme. Style et rythme. J’insiste sur ces deux derniers points : c’est bien la forme qu’Alec Tritème a donné à sa diarrhée intarissable qui a attiré toute mon attention, et m’a donné envie de le suivre jusqu’au bout, malgré la noirceur et le désespoir qui se dégagent de ces pages. J’avoue avoir eu des moments d’hésitation, tant la charge est violente et acerbe, mais la mélodie qui se dégage de cet étrange enchaînement et enchevêtrement de mots et de longues phrases vous retient, et quand vous vous éloignez, vous rappelle. Et puis il y a ce titre : « Homo Sapiens Mon Cul ». Tout de même !

    Une telle construction pouvait-elle n’être que le fruit d’un dégoûté de la vie, un frustré, un aigri, ou que sais-je encore ? J’ai parié que non, et j’ai gagné mon pari : la deuxième partie donne tout son sens à la noirceur lucide (mais déprimante) de la première. Je ne veux pas dévoiler la fin du livre, je dirai simplement ceci : le tout forme un ensemble qu’il est difficile de ranger dans les habituelles cases : philosophie, roman, ou science fiction… Il n’est rien de tout cela. J’ai lu un vrai livre, et je tenais à le dire.

    P.-S. il y a quelque chose de positif et de lumineux dans ce torrent d’encre noire, profondément noire, que l’auteur a déversé sur les cent premières pages. J’ai mis du temps à le comprendre, alors que c’était là, juste devant mes yeux… comme un tableau noir de Soulages. Alec Tritème chie sur toute l’Humanité, toute l’Humanité sans exception. C’est bien la preuve qu’il aime profondément l’humanité, toute l’humanité sans exception.

  2. Ce livre est un vrai livre. Mais tellement original et surprenant que beaucoup qui l’apprécieraient énormément vont passer à côté. Le paradoxe c’est qu’au premier abord on a l’impression de quelque chose de déjà vu mille fois : la fin du monde, « tous pourris », « on va tous crever » etc… et je crois que c ‘est très bien qu’il en soit ainsi, c’est très juste. On en est d’autant plus surpris quand on s’aperçoit que ce livre ne suit aucune des pistes habituelles, aucun des écueils, aucun des travers du genre. Ce n’est pas du tout un livre de militant, de pleurnichard ou de défaitiste à la petite semaine. Il va beaucoup plus loin. Et c’est aussi ça qui rend ce livre aussi fort. D’un côté on n’avait pas du tout imaginé ce que ce livre raconte ni où il nous emmène, d’un autre côté il y a dans ce livre une cohérence HALLUCINANTE avec toutes les spiritualités et philosophies de l’humanité, mais aussi avec l’état de la science actuelle, sans qu’il y ait jamais d’étalage de tout ça. C’est vraiment un livre très troublant.

  3. Il y a très peu de mots pour décrire l’exceptionnelle qualité de ce livre. C’est d’une densité incroyable qui reflète sûrement l’extraordinaire intériorité de l’auteur. C’est certainement un ouvrage qui marque le lecteur. Fait réfléchir, comprendre, découvrir. A quand le prochain ouvrage et l’adaptation au cinéma ? Ne demande qu’à être dévoré !!!

  4. Irrité, nerveux, furibond, oui, mais un livre qui fait du bien, tellement nous sommes collectivement à coté de nos pompes devant la liste interminable des alarmes : pollutions irréversibles, politiques ineptes, abrutissement médiatique, fétichisme de la marchandise, analphabétisme culturel et philosophique… Y’a au moins un type qui n’en peut plus. Salutaire.

  5. Alec Tritème chie sur toute l’Humanité, toute l’Humanité sans exception. C’est bien la preuve qu’il aime profondément l’humanité, toute l’humanité sans exception.

  6. Une expérience de lecture indescriptible. Un ouvrage qui mêle des considérations historiques, politiques, sociales, religieuses et scientifiques, le tout sans concession ni raccourci. A travers un roman à la trame bien construite, tenant le lecteur en alerte, l’auteur propose une nouvelle société, une autre civilisation. Puissant. Révolutionnaire. Un nouvel Orwell est né !

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